« L’armée allemande bat en retraite, Châlons est libérée !!! » Voici relatées par le docteur Chevron, le 11 septembre 1914 et d’après les témoignages des collégiens châlonnais, l’occupation par les Allemands et la libération de la ville de Châlons.
Les préparatifs avec Amélie et Sophie.
L’arrivée des Français à Châlons.
« L’armée allemande bat en retraite, Châlons est libérée !!! »
La voix des morts.
« Nous partons donc en première vague et ne sais si j’en reviendrai … Je vous envoie cette lettre car je n’ose l’envoyer à ma mère, et cependant je tiens à ce qu’elle sache plus tard, si je n’en reviens pas, que je suis mort en brave : ce sera pour elle une douce consolation … »
La pitié pour les blessés.
La lettre qui n’arrivait pas.
« C’est égal, j’en suis fier de not’gars ! Allons, nous autres, les vieux, vois-tu, faut nous montrer dignes de lui. Il a raison, cet enfant, il ne peut pas s’imposer à Annette, à présent. Il faut lui parler. Y vas-tu ? Ou si c’est moi ?
« Chers parents, j’aurais voulu vous écrire plus tôt […] on s’est taillés un chemin dans tout ça et j’ai pu avoir le drapeau des Boches que j’ai remis à mon capitaine. Mais, dame, je ne le tenais que de la main gauche : j’avais perdu le bras droit en route ; j’ai aussi une jambe qui tire et ne veut plus suivre l’autre ! »
Pitou, les retrouvailles.
« Oh … Oh … Non d’un chien j’ai la berlue ! C’est bien toi Pitou !!! … »
« Madeleine !!! Va nous chercher la goutte, la meilleure, la cuvée spéciale Pitou. »
Fin du spectacle.
Antoine, Véro et Mika.
Mika et Amandine.
Mika, Antoine et Dom.
Véro et Amélie.